Les 100 mirifiques milliards d’euros se dégonflent déjà, ils sont sur deux ans. Ce qui explique que la baisse de 20 milliards des impôts de production, prématurément annoncée hier soir par Bercy, ne soit plus ce matin que de 10 milliards la première année. Ils se prennent eux-mêmes les pieds dans leur communication.
La question est maintenant posée, le même raisonnement vaut-il pour le reste du plan comme cela semble bien se confirmer ? Les ficelles sont un peu grosses. Que penser à ce sujet de la déclaration du Premier ministre Jean Castex, qui prévoit une subvention de 35 milliards d’euros de Bruxelles alors que les tractations font rage ? Délit d’initié ou plutôt doigt mouillé ?
Ils ne nous méritent pas !
Amusante coïncidence.
J’avais écrit sur le blog à Paul Jorion, le 8 Juillet:
« Nous les avons vu à l’œuvre et à la manœuvre depuis bientôt 15 ans, c’est bien assez pour juger qu’ils ne nous méritent pas. »
En réalité, à force de vous lire…
Toute cette équipe me fait penser à un groupe de marionnettes de bois, un groupe de Pinocchio.
Dommage que leur nez ne puisse s’allonger à chaque mensonge, leur visage serait modifié au quotidien.
Tristes marionnettes que ces Pinocchio gesticulant maladroitement. Reste à savoir qui tient les fils et impulse le mouvement.
Assurement la Banque Rotschild et consoeurs sans oublier les généreux donateurs au Pinocchio en chef dont les identités n’ont pas été révélées.
Hilarante et édifiante l’annonce du plan de relance du fret ferroviaire, le développement des trains de nuit, le soutien aux petites lignes alors que la réforme ayant transformé la SNCF en SA la conduit à se concentrer sur ce qui est le plus rentable, concurrence oblige, sous l’oeil vigilant de Bruxelles.
Le pif de notre Pinocchio en chef a pris 10 centimètres en plus, rien que sur ce sujet.