Dans la série qui s’étoffe de jour en jour « que peuvent encore les banques centrales ? », le FMI apporte sa contribution. On la doit à Kristalina Georgevia, sa nouvelle présidente, à l’occasion de la réunion annuelle du Fonds.
Italie, le retournement de situation est confirmé
LE PRIX DE L’OBSTINATION DES AUTORITÉS ALLEMANDES, par François Leclerc
DES SIGNAUX PARTANT DANS TOUS LES SENS, par François Leclerc
Obligations indexées sur la croissance : L’HEURE DES SOLUTIONS HÉTÉRODOXES, par François Leclerc
NE PAS ÊTRE EN RETARD D’UN MÉTRO… par François Leclerc
GRANDE POLITIQUE ET PETITS CALCULS, par François Leclerc
LA VÉRITÉ, TOUTE LA VÉRITÉ… par François Leclerc
Billet invité.
Olivier Blanchard, l’économiste en chef du FMI, est sur le départ et, ce qui lui donne l’opportunité de livrer sur son blog « quelques réflexions » pas tout à fait anodines. Il apporte ses réponses à quatre questions dérangeantes sur la Grèce, qu’il n’esquive pas : le premier programme de 2010 n’aurait fait qu’alourdir la dette, le financement accordé aurait servi à rembourser les banques étrangères, les réformes exigées auraient produit une dépression économique, et les créanciers persévèreraient dans l’erreur. Nous voilà loin des histoires pour enfants abondamment reproduites dans les médias.
LA CORDE EST TRÈS TENDUE… par François Leclerc
Billet invité.
Rejetant l’ultimatum de Jeroen Dijsselbloem lui enjoignant de solliciter une extension du plan de sauvetage existant qui lui lierait les mains, le gouvernement grec a répliqué en annonçant qu’il allait lui adresser une demande d’extension du financement européen, pour 4 ou 6 mois suivant les sources. En l’assortissant de trois garanties : pas de retour en arrière sur les réformes déjà réalisées, poursuite de la réalisation d’un excédent budgétaire primaire, et remboursement intégral des créanciers. En contre-partie, le gouvernement grec serait libre de mener sa politique de réformes, dans l’attente de la mise en forme et de l’adoption … Lire la suite
ON EN SAIT UN PEU PLUS… par François Leclerc
Billet invité. Ouvert aux commentaires.
L’intention aurait été de saboter un accord lors de la réunion d’hier de l’Eurogroupe que l’on ne n’y se serait pas pris autrement. La comparaison entre les deux projets successivement présentés au ministre grec des finances, l’un avant la séance par Pierre Moscovici, et l’autre durant celle-ci par Jeroen Dijsselbloem le met clairement en évidence. On peut lire ici le premier que Yanis Varoufakis a déclaré s’être préparé à signer.
Plus question dans le second d’entre eux du nouveau « programme intermédiaire » évoqué dans le premier, mais la référence insistante à l’actuel programme qui … Lire la suite