Billet invité.
Dans quel très mauvais pas les autorités européennes se sont-elles encore fourvoyées en Grèce ? Si jamais Syriza devait remporter des élections législatives dont la convocation apparait de plus en plus inévitable, elles seraient placées devant un choix qu’elles voulaient reculer au plus tard possible : soit restructurer la dette grecque, soit subir un défaut sur celle-ci. Car si une chose n’est pas contestable, sauf pour ceux que cela n’arrange pas de le reconnaître, c’est que la dette grecque n’est pas soutenable.
La partie ne fait que commencer et s’annonce mouvementée. Le second tour de l’élection du candidat … Lire la suite