La transition dans laquelle la Chine est engagée est rendue plus ardue par la guerre douanière que Donald Trump mène dans le but d’améliorer la compétitivité de l’économie américaine. Un scénario prévalait en occident à son propos, mais il doit être révisé. Selon celui-ci, l’énorme marché intérieur chinois allait progressivement s’ouvrir largement aux exportations occidentales, et la Chine allait cesser de faire cavalier seul pour s’intégrer dans une économie capitaliste mondialisée. Les discussions portaient essentiellement sur les à-coups et le calendrier de cette mutation au fur et à mesure qu’elle se déroulait.
La Chine vue par le petit bout de son shadow banking
La guerre des monnaies en ligne de mire
Le plus mauvais des calculs, celui du risque financier
QUAND LA BULLE CHINOISE ÉCLATERA… par François Leclerc
LA CHINE SUR UNE MAUVAISE PENTE ET NOUS AVEC, par François Leclerc
LE BREXIT, FENÊTRE D’OPPORTUNITÉ POUR LES BANQUES, par François Leclerc
CHAMP LIBRE A LA BANQUE DE L’OMBRE ! par François Leclerc
LA PROBLÉMATIQUE ÉVALUATION DU RISQUE DE… LIQUIDITÉ, par François Leclerc
L'IMPOSSIBLE RÉFORME DU SYSTÈME FINANCIER, par François Leclerc
Billet invité.
Il y a de quoi donner le tournis : le shadow banking représentait 75.000 milliards de dollars d’actifs en 2014, selon le Conseil de stabilité financière (FSB), soit 50 % des actifs bancaires et 120 % du PIB mondial. Mais le plus impressionnant réside dans l’augmentation de 7 % de sa taille en une seule année, signifiant qu’une mutation est en cours.
Sans aller chercher plus loin et pénétrer dans les arcanes du système financier, cette constatation relativise singulièrement la portée de mesures de régulation principalement destinées aux banques. Cela a d’ailleurs conduit Vitor Constâncio, le vice-président de … Lire la suite