Les pertes affichées par les grands groupes français atteignent des milliards d’euros, l’unité de compte qui désormais prévaut en tous domaines en ces temps de gigantisme. Cela va-t-il si mal après quelques semaines d’une forte baisse de l’activité économique suivies d’une reprise durablement poussive ? Le tissu économique serait-il à ce point fragile ? C’est une hypothèse à sérieusement envisager.
