« Une surveillance presque parfaite », c’est ainsi qu’est dénoncée une entreprise d’espionnage technologique de masse qui n’a pas cette fois-ci les autorités chinoises pour auteur. Le Wall Street Journal a révélé comment le gouvernement américain suivait à la trace et à grande échelle ses concitoyens, en dehors de tout contrôle et au prétexte de lutter contre l’immigration clandestine.
De l’analyse des comportements à leur façonnement
Amnesty International a choisi ses cibles pour dénoncer dans un rapport fouillé la menace que représente la captation des informations personnelles. Facebook et Google ont été sortis du lot en raison de leur poids et avenir sur ce marché qui repose sur la vente de profils d’utilisateurs et de prédiction de leurs comportements. Selon l’organisation, tout deux attentent au respect de la vie privé et aux droits humains. Vivre sous surveillance revient alors pour les internautes à contracter un pacte faustien, obligés de se soumettre à « un système basé sur la violation des droits humains » pour les exercer.… Lire la suite