Nos certitudes sont-elles un luxe ?

La crise est désormais globale. De financière, elle est successivement devenue économique, puis sociale et politique. Aujourd’hui, elle prend également les traits d’une guerre commerciale mondiale, comprenant des offensives sur le terrain monétaire.

Les interrogations se multiplient, les prévisions sont illusoires, une forte dynamique s’exerce. Et d’une certaine manière nous nous y sommes faits. La fin des idéologies n’avait-elle pas été prédite pour que ne soit conservée que celle qui défend les avantages acquis des nantis ?