La crise politique européenne s’est en premier lieu exprimée par un rejet des partis de gouvernement et l’ascension de nouvelles formations sorties du néant, par dédain qualifiées de populistes par ceux qui confortaient ainsi leur comportement élitiste.
APRÈS L'ALLEMAGNE, LE TOUR DE L'ITALIE ? par François Leclerc
LES MAUVAIS DÉMONS ITALIENS, par François Leclerc
LES ALÉAS DE LA CRISE POLITIQUE, par François Leclerc
L'actualité de demain : "A CASA !", par François Leclerc
Billet invité
Combien étaient-ils hier venus écouter Beppe Grillo pour son dernier meeting électoral à Rome ? Il a lui-même annoncé 800.000 participants, mais qu’importe : il y avait la foule des très grands jours sur la place Saint-Jean de Latran, pour ceux qui y ont connu l’enterrement de Togliatti ou les grandes manifestations syndicales unitaires. Reprise en chœur, une simple injonction adressée au hommes politiques rend compte de ce qui les unissait avant tout : « A casa ! » (à la maison).
Les candidats du Mouvement 5 étoiles se sont succédés sur l’estrade, réclamant la fin des grands … Lire la suite