Trump et Poutine, un couple illégitime très uni

Donald Trump focalise toutes les attentions, car il en est attendu le pire s’il ne l’emportait pas. Et l’on commence à se dire que ce qu’il a réveillé et cristallisé autour de sa personne malfaisante ne disparaitra pas si Joe Biden parvient à l’emporter malgré tout. C’est l’occasion de se plonger dans le livre de Catherine Belton consacré aux « Gens de Poutine » (*), en raison notamment du copieux chapitre consacré à Donald Trump.

Les annonces prématurées d’accord internationaux se succèdent

Les grandes négociations internationales et européennes avancent à pas de tortue, avec toujours le risque de ne pas aboutir. Le sommet européen des 15 et 16 octobre prochains va tenter de franchir les obstacles à l’adoption du plan de relance posés par les États membres ou le Parlement. Mais le débat sur la fiscalité internationale engagé au sein de l’OCDE n’est pas mieux parti pour l’instant.

BlackRock, un champion à suivre de près

Cette crise est mal nommée, car c’est une véritable catastrophe. Les crises sont passagères, les catastrophes sont durables, voire irrémédiables. Celle que nous vivons a été dans un premier temps comptabilisée en nombre de morts, puis en points de chute du PIB et de hausse du chômage, et ce sera bientôt en victimes de la famine. Règne de la survie, l’informalité tourne au désastre. On parle d’atterrissage en catastrophe et l’on a de bonnes raisons de pressentir que l’on ne va pas y échapper.

Bernie Sanders, le candidat public n°1

Une totale incertitude règne sur les résultats du caucus de l’Iowa, premier épisode de la bataille pour l’investiture démocrate aux élections présidentielles américaines de novembre prochain. Le nombre des indécis mesuré par les sondages et la complexité du processus électoral sont tels qu’il est impossible de prédire quel en sera le vainqueur. Mais, à titre de précaution, des caciques du parti démocrate affutent déjà dans l’ombre leurs couteaux pour barrer la route de l’investiture finale à Bernie Sanders.