Billet invité.
Les banques centrales sont toujours des bons baromètres, dit-on. Enfin presque, car elles n’avaient pas annoncé la crise en cours. Depuis, elles cherchent à se rattraper en ouvrant grand leur filet de sécurité et en élargissant leurs missions, dans l’attente que la machine veuille bien se remettre en marche. C’est sur la constatation qu’elles ne vont pas de sitôt pouvoir le relever que se fonde la remarque que le capitalisme financier est devenu assisté.
Quel temps annoncent-elles aujourd’hui, sinon le maintien des incertitudes ? La banque du Japon poursuit par ses émissions monétaires une nouvelle tentative de relance … Lire la suite