Pas question d’allonger la liste de la honte des pays à surveiller de près pour blanchiment et financement du terrorisme ! La Commission s’y est essayée mais n’y est pas parvenue. On sait que la large majorité qualifiée nécessaire à cette inscription n’a pas été réunie au sein du Conseil des chefs d’État et de gouvernement.
Fructueuses palabres italiennes
LES GRANDES ILLUSIONS DE MACRON, par François Leclerc
L'actualité de demain : DES CRISES POLITIQUES DE GRANDE PORTÉE MAIS SANS ISSUE, par François Leclerc
Billet invité.
Aux États-Unis, en Italie et au Portugal, trois crises politiques s’affichent simultanément, témoignant combien cet échelon de « crise » est atteint. Rien à voir entre elles, en raison de la diversité de leur contexte, si ce n’est leur intensité et, surtout, leur portée.
Les dirigeants politiques poursuivent leur course dans le vide, suspendus au sort de Silvio Berlusconi, alors que tous les signaux d’alarme ont été tirés à propos de la situation des banques du pays. Troisième puissance économique de la zone euro, l’Italie ne peut pas de ce point de vue être cataloguée parmi ces pays … Lire la suite
L'actualité de la crise : LEUR POLITIQUE DU PIRE, par François Leclerc
Billet invité.
Régulièrement, un responsable de haut niveau abandonne pour un bref instant ses postures les plus convenues et se permet de lâcher publiquement une vérité. Au début du mois, Mervyn King, gouverneur de la Banque d’Angleterre, avait déjà défrayé la chronique de ce petit monde en s’étonnant que « le niveau de colère ne soit effectivement pas plus élevé qu’il ne l’est ».
Jean-Claude Junker, chef de file de l’Eurogroup, n’y a pas davantage été de main morte le 18 mars, en déclarant à l’occasion d’une conférence où il défendait l’instauration d’une taxe européenne sur les transactions financières : … Lire la suite
L'actualité de la crise: une politique par défaut, par François Leclerc
Billet invité.
UNE POLITIQUE PAR DÉFAUT
Faute d’une alternative qui suppose des mises en cause inconcevables à ce stade de la crise, un mauvais chemin est emprunté en Europe, dont on ne sait où il mène. Les commentaires ont beau se multiplier sur le thème : « ça ne passera pas », « les objectifs ne sont pas réalistes », « nous allons entrer dans une spirale dépressive », les gouvernements de la zone euro persistent et signent par défaut.
Ce sont les Allemands qui impriment leur marque, ne voyant leur salut que dans le maintien de leurs acquis, voulant … Lire la suite