« Nous sommes venus vous faire dégager ! » ont-ils repris pour la 52 ème fois. Les Algériennes et les Algériens sont massivement descendus dans la rue à l’occasion de l’anniversaire de leur soulèvement – un an déjà ! – démentant le président mal élu Abdelmadjid Tebboune qui prétendait que « les choses commencent à s’apaiser », confondant ses souhaits avec la réalité.
Révolte algérienne, deuxième session
En Algérie, le système a perdu sa tête
Double pouvoir en Algérie
Les chefs militaires dans l’impasse en Algérie, danger
Le mur de la peur est tombé
L’Algérie sans issue
Coup d’arrêt à Alger
Le chef d’état-major de l’armée a apporté une fin de non-recevoir à la concrétisation des mesures préalables formulées par le panel de discussion. C’est non sur toute la ligne et augure fort mal de la suite. Qu’en sera-t-il demain de la promesse qu’il travaille en toute indépendance et comment peut-il être espéré que le hirak (mouvement) se reconnaisse dans ses travaux et conclusions ?
Il faudrait pour cela que les mesures d’apaisement soutenues par Abdelkader Bensalah, qui était jusqu’au 9 juillet président par intérim, connaissent au moins un commencement d’exécution. Cela prend le chemin contraire et met en évidence des … Lire la suite