Portant la principale responsabilité de la politique budgétaire européenne, l’Allemagne est au centre de l’attention. Les autorités allemandes pourraient-elles prochainement concéder son assouplissement ? Dans les faits, rien ne permet aujourd’hui d’y croire.
L’ALLEMAGNE AUX PRISES AVEC SA CRISE POLITIQUE, par François Leclerc
La négociation européenne : LA FRONDE PREND CORPS, par François Leclerc
Billet invité
La fronde prend corps avec la tenue demain samedi à Paris d’une réunion consacrée aux priorités de la prochaine Commission européenne. Sont annoncés les chefs des gouvernement autrichien, belge, danois, italien, slovaque et tchèque, ainsi que la présence du vice-chancelier allemand Sigmar Gabriel.
Les évènements se précipitent après une ouverture en demi-teinte, et c’est dans un brouillard épais qui n’est pas de saison que s’engage l’inévitable tournant de la politique européenne. Le ballon d’essai lancé par Sigmar Gabriel, le ministre de l’économie et président du SPD, a reçu le soutien de poids de l’ex-chancelier Gerhard Schröder, le père … Lire la suite
L'actualité de demain : LES VRAIES VALEURS (SUITE), par François Leclerc
… Lire la suiteBillet invité. Il faut noter que dans une deuxième version du discours de Pierre Moscovici communiquée à la presse, le passage cité par François dans son premier paragraphe, relatif à la finance comme « poumon », a été remplacé par un autre que voici : « La finance est essentielle à l’économie réelle, elle doit être mise à son service ! Or, elle ne l’est pas et c’est pourquoi il faut l’Union bancaire, projet politique majeur, au service des entreprises ». Comme on entend là en écho : « La finance au service de la communauté », l’intitulé en français de