Le rapatriement massif des réserves d’or récemment opéré par les autorités allemandes est à l’image de leur pensée économique, si toutefois on peut l’appeler ainsi. Manifestation exemplaire de la politique de repli et de rétention, elle est sur le fond de même nature que celle de Donald Trump, le reflet d’une époque de forte incertitude et d’instabilité à laquelle toutes deux contribuent.
Navrant spectacle de marionnettes à Washington
Le capitalisme financier, son meilleur ennemi…
Une hirondelle ne fait pas le printemps, même en Chine…
Le G20-finances : jeux de mots, jeux de vilains
Au G20-finances de Buenos Aires, la fin de la mondialisation heureuse
FMI, POURRAIT MIEUX FAIRE ! par François Leclerc
DAVOS, LÀ OÙ L’HISTOIRE NE S’ÉCRIT PAS, par François Leclerc
LA DETTE : SOUFFLER N’EST PAS JOUER ! par François Leclerc
LA GRÈCE PLUS QUE JAMAIS VICTIME EXPIATOIRE, par François Leclerc
Billet invité.
Otage depuis des mois des désaccords entre ses créanciers, le gouvernement grec n’a eu une fois encore pas d’autre ressource que de plier et de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Ni la reculade du FMI, Christine Lagarde ayant fait le déplacement pour l’appuyer, ni la tentative de compromis du gouvernement français, qui n’aura eu droit qu’à une mention dans le communiqué final, n’auront fait bouger les lignes. Le gouvernement allemand a une nouvelle fois imposé la sienne et refusé tout allégement concret de la dette du pays. Le reste n’est qu’habillage qualifié par Jeroen Dijsselbloem et Euclid … Lire la suite