Billet invité.
Cela n’a pas manqué : la détente enregistrée sur les marchés obligataires espagnol et italien s’est immédiatement traduite par la temporisation des autorités européennes, qui ne sont plus pressées de mettre en pratique les mesures adoptées en juin dernier au plus fort de la crise.
Elles avaient alors décidé de rompre le lien entre la dette publique et celle des banques, diagnostiqué comme particulièrement maléfique, mais les discussions sur les modalités du dispositif traînent en longueur et pourraient durer jusqu’en 2014. Les dernières propositions qui circulent sont contradictoires avec les objectifs initiaux, impliquant les États dans le sauvetage … Lire la suite