Donald Trump focalise toutes les attentions, car il en est attendu le pire s’il ne l’emportait pas. Et l’on commence à se dire que ce qu’il a réveillé et cristallisé autour de sa personne malfaisante ne disparaitra pas si Joe Biden parvient à l’emporter malgré tout. C’est l’occasion de se plonger dans le livre de Catherine Belton consacré aux « Gens de Poutine » (*), en raison notamment du copieux chapitre consacré à Donald Trump.
Méfions-nous quand la confiance règne
Un indicateur bien arrangeant
Premières découvertes sur le monde d’après
Vu l’ampleur de l’endettement des entreprises, de ses dégâts à venir ainsi que de ses conséquences bancaires, les établissements de crédit ont des soucis à se faire. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, des dizaines de milliards d’euros sont alignés et il va falloir les rembourser. Devant l’accroissement du « coût du risque », les banques vont devoir renforcer les provisions qu’elles ont passées cette année. Celles-ci ont été limitées avec l’accord des autorités de régulation, incitant une fois encore à soupçonner qu’elles camouflent de grosses miettes sous le tapis. Mais les temps changent, la BCE va appeler à mieux faire le … Lire la suite
Le tour des banques européennes ne saurait tarder
Un malheur n’arrive jamais seul. La Société Générale, confrontée à des « rumeurs de marché » insistantes, a tenté de couper court en devançant la date de publication de ses résultats trimestriels. Elle a dû reconnaitre ses grosses pertes dans la banque d’investissement, et ne va pas pouvoir en rester là en ce qui concerne ses provisions pour défauts de crédits. Le temps de la splendeur est révolu, la Société Générale enregistre la chute de sa valorisation boursière et entraine BNP Paribas, Crédit Agricole, BPCE et Natixis dans son sillage, sans même attendre la publication de leurs résultats demain et … Lire la suite