Le parquet de Catane, en la personne de son procureur Carmelo Zuccaro n’a pas répondu aux attentes de Matteo Salvini son ministre. Une fois les réfugiés débarqués pour être répartis entre les États membres volontaires, il a déclaré que l’équipage du Sea Watch n’avait commis aucun délit. Chacune de ses décisions prises depuis le 19 janvier ont été « justifiées ».
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