Billet invité
Les ministres des finances allemand et français ont fait à Copenhague de la mauvaise politique en décidant du montant du pare-feu censé protéger l’Eurozone des suites de la crise. Leurs contextes parlementaire et électoral respectifs aidant, ils ont affiché leur désaccord pour ensuite édifier un muret présenté comme infranchissable. Après l’envolée embarrassante du ministre français François Baroin avant qu’il ne se rende à Copenhague, au vu du résultat final de la réunion: « Le pare-feu, c’est un peu comme le nucléaire sur le plan militaire, c’est fait pour ne pas être utilisé, c’est de la dissuasion ».
Maniant … Lire la suite