L’Espagne et le Brésil se partagent le triste privilège de voir des candidats susceptibles d’emporter des élections empêchés d’y participer par des décisions judiciaires très contestables.
Tout à sa croisade, Mariano Rajoy a obtenu des juges qu’ils embastillent les leaders indépendantistes et leur interdisent de se présenter à la présidence du Parlement Catalan, où ils seraient sinon élus. Mais les juges allemands, sur qui il était compté, n’ont pas extradé Carles Puigdemont, accusé de rébellion. On a appris que les services secrets espagnols avaient choisi l’Allemagne pour le faire arrêter, de préférence au Danemark ou à la Finlande, estimant que … Lire la suite