Billet invité
Alors que les préparatifs fébriles du sommet européen s’intensifient dans une dramatisation suspecte de manipulation de l’opinion, la deuxième phase de la crise de la dette donne en sous-main bien du souci, même si elle n’a pas les honneurs des grands titres. Devenues, à l’instar des États, un mauvais risque pour les investisseurs, les banques européennes connaissent à leur tour de sérieuses difficultés financières et font l’objet de toutes les attentions.
Se défendant d’être un prophète de malheur – un de plus ! – l’économiste en chef de Standard & Poor’s, Jean-Michel Six, justifie les mises sous surveillance … Lire la suite