Manger ou être mangées, tel est le dilemme devant lequel, à les entendre, les grandes banques européennes seraient placées. Certes, elles ne font pas le poids devant les mastodontes américains qui font la loi sur les marchés, ni en terme de capitalisation boursière, ni de retour sur capitaux propres (ROE). Mais la concentration qu’elles voient comme recours en ces temps de vache maigre question rendement rencontre de gros obstacles. Question vocabulaire, elles préfèrent d’ailleurs parler de « consolidation » pour ne pas rebuter.
Gueule de bois à Tokyo pour samba à Beyrouth
Les japs y connaissaient pas Raoul ! Y pensaient qu’ c’était un cave qu’allait s’mettre à table à la première torgnole. Mais l’gars c’est un cador, une épée ! Il enquille les milliards en biffetons à son p’tit-déj comme mamie les biscottes, l’a des baraques sur tous les continents à faire passer l’Élysée pour l’étable du p’tit Jésus ! Alors la Justice, y t’l’a dispersé aux quat’coins d’l’archipel, façon puzzle ! Et l’gros c** d’Procureur l‘a appris qu’les PDG honnêtes c’est comme les poissons volants, ça constitue pas la majorité du genre. Le gonz, depuis Montauban qu’on l’a entendu pleurer … Lire la suite