Billet invité
Les dysfonctionnements se combinent à l’échelle mondiale. Non seulement en raison des effets du tapering de la Fed, créant sur le marché des devises une volatilité destinée à durer, mais également des politiques non coordonnées des banques centrales. L’une freine, l’autre tire (la banque du Japon), la Banque d’Angleterre reste sur son quant-à-soi et la BCE est sujette à des interrogations permanentes. Si le marché est unique et l’activité financière mondialisée, aucune impulsion commune n’est donnée, chacun restant sur son pré carré. Le G20 et ses prétentions à la gouvernance mondiale ne sont plus qu’un souvenir, les contradictions … Lire la suite