LE DÉMANTÈLEMENT SOURNOIS DE L’EUROPE, par François Leclerc

Billet invité.

Les promesses présidentielles américaines enlisées, les investisseurs ont changé leur fusil d’épaule et reviennent en Europe. Car tout est relatif dans un monde où il faut sans cesse trouver un point de chute à des capitaux dont le volume continue de croître ! À croire que ce n’est pas la fameuse diminution du taux de profit décelée par Marx qui étrangle le capitalisme, mais la noyade dans un trop plein de liquidités qui le menace !

Réfugiés : APRÈS L’ÉPISODE TURC, LE LIBYEN DANS TOUTE SA GLOIRE… par François Leclerc

Billet invité.

L’entrée d’un patrouilleur italien dans les eaux territoriales libyennes a suscité une vive réaction de Khalifa Haftar, qui dispute le pouvoir à Fayez al-Sarraj. L’un s’est autoproclamé maréchal de l’Armée nationale libyenne (ANL) et contrôle une large partie du territoire libyen adossé à la frontière avec l’Égypte, l’autre est le premier ministre du gouvernement reconnu par la communauté internationale de Tripoli.

QUAND LA CRISE DEVIENT MORALE… par François Leclerc

Billet invité.

Les mesures de rétorsion contre les navires des ONG qui ont refusé de signer le « code de conduite » des autorités italiennes ont débuté. L’ONG allemande Jugend Rettet a subi dans le port de Lampedusa des « contrôles de routine », selon le vieux cliché policier. Le navire y avait été escorté par une unité des garde-côtes italiens et devrait être autorisé à reprendre la mer rapidement, d’après leur commandant.

MACRON ET LES RÉFUGIÉS : ENCORE DE LA POUDRE AUX YEUX, par François Leclerc

Billet invité.

Il y a de la duplicité dans l’air ! Avec son discours fondateur sur la politique à mener en direction des migrants, Emmanuel Macron a tenté de se donner le beau rôle jeudi dernier. Comme s’il avait endossé le rôle du bon flic, par opposition au méchant joué par son ministre de l’intérieur Gérard Collomb dont il ne réfrène cependant aucunement les ardeurs policières.

LE PRÉSIDENT DU CONSEIL ITALIEN DÉMENTI EN LIBYE, par François Leclerc

Billet invité.

Contredisant Paolo Gentiloni, son homologue italien, le chef du gouvernement libyen Fayez al-Sarraj a démenti avoir demandé à l’Italie d’envoyer des navires dans les eaux territoriales libyennes.

Selon ce dernier, il a seulement été convenu d’autoriser des unités navales italiennes à accéder au port de Tripoli afin de « compléter le programme d’appui aux gardes-côtes par la formation et l’armement… ».

La clarté n’est pas vraiment au rendez-vous.

LES RÉFUGIÉS, CES PESTIFÉRÉS QU’IL FAUT REFOULER, par François Leclerc

Billet invité.

Le gouvernement italien a décidé d’employer les grands moyens pour stopper l’exode des réfugiés vers l’Italie au départ des côtes libyennes. Paolo Gentiloni, le chef du gouvernement italien a déclaré aujourd’hui que Fayez el-Sarraj, son homologue libyen, lui avait demandé l’aide de la marine italienne dans les eaux territoriales libyennes. Cela lui avait peut-être été suggéré…

LES AUTORITÉS EUROPÉENNES LAISSENT LE CHAMP LIBRE À ERDOGAN, par François Leclerc

Billet invité.

Les autorités italiennes ont retenu des dernières rencontres des ministres de l’Intérieur ainsi que des Affaires étrangères européens qu’elles doivent d’abord compter sur elles-mêmes pour enrayer l’exode des réfugiés. Car il en est ressorti que le partage de leur accueil avec les autres pays est rigoureusement exclu, ne laissant que deux issues de disponibles : détruire les réseaux de passeurs et séparer les réfugiés ayant droit à l’asile des migrants économiques, qui représenteraient 80% de l’ensemble en application de critères non précisés.