Les portugais disent « matar saudades » quand ils veulent combattre la nostalgie. Cela donne ce qui suit, qui tranche avec l’ordinaire. Commentaires bienvenus.
Les vieux fonds de pot de …
L'actualité de la crise : LES FILS DÉCOUSUS, par François Leclerc
Billet invité.
Tandis que les autorités des pays que l’on disait développés affichent la vacuité de leur vision et leur paralysie, dépassées par une crise financière dont ils ne veulent pas reconnaître les ressorts pour ne pas les combattre, une succession d’événements imprime au monde une autre tournure.
Le profond et irrésistible mouvement qui continue de traverser le Moyen-Orient domine, par delà la cruauté des événements en cours et les incertitudes sur ce qui en résultera. De vieux comptes historiques commencent à être réglés et continue de se manifester une aspiration à la liberté devant laquelle il est impossible de … Lire la suite
L'actualité de la crise : DÉSIRS DE RUPTURE, par François Leclerc
Billet invité
Que l’on se souvienne des pays de l’Est, suite à l’effondrement de l’URSS et de son glacis, ou bien de ceux dont l’entrée dans l’Union européenne et la zone euro a été vécue comme l’occasion du rattrapage d’un niveau de vie particulièrement bas, il y a beaucoup à dire…
Peut-il en effet être reproché aux Tchèques, aux Polonais et aux Hongrois, aux Grecs, aux Irlandais et aux Portugais – ces paresseux notoires – et à tous les autres qui étaient dans le même cas, d’avoir voulu pénétrer dans la vitrine que représentait l’autre partie de l’Europe, nantie … Lire la suite
L'actualité de la crise: les démiurges malfaisants à l'oeuvre, par François Leclerc
Billet invité.
LES DEMIURGES MALFAISANTS A L’OEUVRE
Il avait pu sembler aux gouvernements européens qu’ils avaient gagné un répit prolongé, les faits viennent de les détromper. Non seulement la crise continue, mais elle a repris une mauvaise tournure en cette fin de semaine. Deux signes qui ne trompent pas : l’euro continue d’être très attaqué sur les marchés et les cours des valeurs financières (les banques) font un nouveau grand plongeon. Seuls, les taux obligataires sous surveillance renforcée et interventions de la BCE restent stables, mais à un niveau qui reste très élevé. Ce n’est pas encore tout à fait … Lire la suite