Billet invité.
Le deuxième acte de la crise européenne que nous venons d’entamer est prévu pour durer longtemps, le temps qu’il faudra pour réaliser un désendettement qui en demande bien plus qu’originellement prévu, évalué dans l’incertitude à une décennie. Autant avouer que l’on n’en discerne pas le terme.
Comme si les rebondissements à répétition du processus chaotique de désendettement des États – qui va se poursuivre – ne suffisaient pas, celui des banques monte désormais en puissance après avoir été longtemps escamoté, sans donner de signe qu’il va être plus aisé. En attendant, les banques restreignent l’accès au crédit en … Lire la suite