Le projet de Donald Trump n’est en rien secret. Il veut que les États-Unis retrouvent la place de première grande puissance qu’ils sont en train de céder, avant qu’il ne soit trop tard. Pour y parvenir, il bat ses cartes en profitant de sa supériorité financière et militaire. Car ces deux-là sont intactes, à l’inverse d’une supériorité économique déclinante.
Le superbe imbroglio italien
Le désendettement, un débat mené à reculons quand il devient inévitable
Europe, morne plaine
Une inflexion à défaut de tournant
L’inexorable poids de la dette américaine
Les banques, les vrais patrons des politiques
Des tests de résistance des 48 plus importantes banques de l’Union européenne et de la Norvège se sont tenus sous les auspices de l’Autorité bancaire européenne (EBA). Mais ce qui était hier un évènement fiévreusement attendu passe aujourd’hui largement inaperçu. Est-ce parce que ces tests ont définitivement perdu toute crédibilité, ou bien encore en raison de la conviction qui s’est nouvellement forgée que c’est ailleurs qu’il faudrait chercher le facteur de déclenchement d’une nouvelle crise financière aiguë ? Que c’est de toute façon hors de portée des régulateurs, auxquels le fonctionnement du système financier échappe largement à leur surveillance ?… Lire la suite