Les temps changent, les discours aussi. « Il n’y a pas d’argent magique » avait répondu Emmanuel Macron à une infirmière l’apostrophant. Entré en guerre, il a changé son fusil d’épaule pour marteler « quoi qu’il en coûte ». Mais il n’a pas précisé qui allait payer l’addition et par quel moyen.
BlackRock et la Fed ont de puissants intérêts communs, offrant un éclairage saisissant
La cigale et la fourmi, nouvelle saison
Défense et illustration des corona-obligations
Les Cassandre finiront par avoir raison
Une nature à forcer pour sortir d’un cadre convenu dans un contexte qui ne le permet plus
Être à la hauteur de la situation serait nouveau
Manger son chapeau, c’est indigeste
Autre temps, autres mœurs
Les milliards valsent, mais seront-ils suffisants ? Ce qui était un doute devient une certitude, c’est non ! Il est enregistré que la BCE a repris la main, mais il va falloir la garder le temps passant. Les métaphores guerrières destinées à rassurer et assurer les faux-semblants sont de sortie. L’un parle de son « bouclier », l’autre de la « bombe » que représenterait l’activation du Mécanisme de stabilité européenne (MES), d’autres encore font état des « munitions illimitées » de la banque centrale. Et le gouvernement français tente de contenir la chute de l’activité économique en créant une … Lire la suite