Billet invité
Fátima Báñez, la ministre de l’emploi et de la sécurité sociale du gouvernement Mariano Rajoy, s’est appuyé sur les derniers chiffres du chômage espagnol (au taux avoisinant 23% en fin d’année), pour justifier sa prochaine réforme du travail. Avec comme intention déclarée de « redonner confiance aux travailleurs et aux chefs d’entreprise, pour qu’ils puissent surmonter la crise ensemble et que le licenciement soit la dernière option ».
Javier Diaz-Gimenez, économiste à l’IESE Business School de Madrid, a présenté plus crument les objectifs de cet assouplissement de la législation du travail : « la première mesure à prendre … Lire la suite