Le nouveau gouvernement italien a choisi sa ligne de conduite destinée à durer. Deux offensives sont parallèlement menées. La première sur les thèmes xénophobes, pain béni en raison de leur retentissement, la seconde en politique étrangère vis-à-vis de la Russie dont le premier ministre a demandé le retour au sein du G7.
L’insaisissable changement de l’ordre mondial
Après l’Italie, l’Espagne va-t-elle rester sous contrôle longtemps ?
Une stabilité précaire et pas destinée à durer
Le statu quo n’était pas tenable
Après l’Italie, l’Espagne. Que dit Macron ?
L’Europe du sud source de bien des tracas
La dette publique italienne est comme on sait un très gros morceau, et il viendra nécessairement un moment où, à l’instar de la Grèce, la fiction de son remboursement ne sera plus tenable. En attendant l’espoir fait vivre. Pour la suite, cela promet des transactions sans fin, car si le statuquo finit par ne plus pouvoir être maintenu, un abandon de créance n’est pas pour autant acceptable pour nos édiles. Elles se raccrochent à un reprofilage qui a le mérite de repousser le moment où il deviendra inévitable, c’est tout ! Les Allemands sont conscients de cette impasse. Pour ne … Lire la suite