Billet invité.
On reconnait les vrais dirigeants politiques à leur capacité à prétendre qu’ils ne sont pour rien dans les mauvaises nouvelles et à en attribuer la responsabilité aux autres. Cela se confirme une fois de plus à l’occasion du tollé créé par l’annonce de la taxation des dépôts dans les banques chypriotes.
Seule Moscou s’insurge contre le sort réservé aux déposants étrangers, les autres regrettant au contraire que les Chypriotes, dont ils se font désormais les protecteurs, soient frappés. La BCE, le ministre français des finances Pierre Moscovici, le porte-parole d’Angela Merkel en reportent les uns après les autres … Lire la suite