Billet invité.
Datant de novembre 2012, la promesse de la Troïka au gouvernement grec n’est pas prête d’être honorée. Reconnue insoutenable, la dette publique du pays devait pour la seconde fois être restructurée, à condition qu’un excédent primaire supérieur à 1,5% du PNB soit dégagé cette année. Bien que ce soit chose faite – en vertu d’une méthodologie de circonstance mitonnée par Eurostat, afin que les autorités européennes puissent s’en prévaloir – les conditions préalables se multiplient et retardent toute décision. Il était d’abord question d’attendre août pour en discuter, les élections passées, puis maintenant la fin de l’année, afin … Lire la suite