COMMENT RÉSORBER LA CACOPHONIE EUROPÉENNE ? par François Leclerc

Billet invité.

Les dirigeants allemands vont-ils avoir toujours raison ? L’occasion va prochainement être donnée de le tester, les sujets de discorde avec la Commission et le gouvernement italien se multipliant. Que ce soit à propos du financement de l’accueil des réfugiés, de la présence des titres de la dette publique dans les bilans bancaires, ou des négociations avec la Grèce, d’autres musiques que la leur se font entendre.

THÉRAPIE COLLECTIVE À WASHINGTON, par François Leclerc

Billet invité.

« Il est exact qu’il règne ici une certaine anxiété à propos de l’état de l’économie mondiale », a déclaré le chancelier de l’échiquier George Osborne en maniant la litote. À Washington, où le gratin de la finance s’est retrouvé, les raisons d’inquiétude n’ont pas manqué, selon une routine désormais installée : faible croissance et déflation, accès soudains de volatilité financière, guerre des monnaies larvées… Et rien ne va en s’arrangeant.

LA LOGIQUE DE DÉMANTÈLEMENT DE L’EUROPE, par François Leclerc

Billet invité.

Les actions de la BCE sont au plus bas en Allemagne. La mise en cause de Mario Draghi a monté d’un cran, ses détracteurs appelant à un changement de sa politique, sans crainte de bousculer le dogme de l’indépendance de la banque centrale. Le temps n’est plus où Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, éternel minoritaire au sein du conseil des gouverneurs de la BCE, se contentait d’exprimer ses réserves, de voter contre les mesures décidées par la majorité, puis se bornait à déclarer que cela allait « trop loin ». Le dernier train de mesures, l’annonce … Lire la suite

LA GUERRE SANS FIN DES MONNAIES, par François Leclerc

Billet invité.

De plus en plus nombreux, les économistes qui voient plus loin que le bout de leur nez se grattent la tête. Qu’il est loin le temps où Nouriel Roubini pouvait seul se prévaloir du surnom de Mister Doom (Monsieur catastrophe), car les alarmistes sont désormais légion  ! Ce n’est pas une consolation, car ils ont en commun de non seulement craindre le pire mais aussi de ne pas savoir comment et quand il surviendra.