Sévèrement secoué, le capitalisme allait-il trouver en lui-même les capacités à se réformer ? Dès le début de la crise, la question a été soulevée et amplement débattue sur le blog de Paul Jorion. Et rien n’a été tranché en attendant de voir venir. Aujourd’hui, nous y voyons plus clair. Le système n’a pas choisi ce chemin, il a seulement fait semblant. Mais il est néanmoins parvenu à se stabiliser, puissamment aidé par les banques centrales qui l’assistent. Sa crise est restée chronique.
Indépendance, acte II
Anticipation
L’Arabie saoudite et le Panama blanchis du blanchiment
Trop facile de se faire du mal
Les bonnes idées ne meurent pas, elles sommeillent quelquefois
Les inégalités ont de beaux jours devant elles
Le compteur des morts est reparti
Ces gêneurs les ONG
Les lépreux, c’est eux
Quels immenses efforts ont dû être déployés pour finalement parvenir à accueillir une poignée de réfugiés bloqués au large de Malte ! Les gouvernements européens viennent de faire collectivement preuve d’une totale indécence, une de plus mais de taille. Sont-ils à ce point tétanisés par la montée relative de la xénophobie, à moins qu’ils ne la partagent pour certains, qu’ils se croient obligés de s’y plier au lieu de la combattre, de l’attiser en y souscrivant de fait ?
Tous autant qu’ils sont, devenu bien peu de choses, leurs membres sont disqualifiés et ne peuvent plus prétendre se draper dans … Lire la suite