En Algérie, les mobilisations massives de rejet du « système » se succèdent depuis huit mois. Mais l’armée, qui en est le cœur et se trouve désormais en première ligne sans paravent civil pour se masquer, se refuse à passer la main comme exigé. Où va-t-on ?
L’accord de Malte ne constitue pas un solde de tout compte
Le cocktail frelaté du chef d’État-major algérien
À la Valette ils ont joué petit bras
Le mur de la peur est tombé
L’Algérie sans issue
Contrôle social à l’américaine
Le monde s’emmure
Ces valeurs qui sombrent irrémédiablement
Coup d’arrêt à Alger
Le chef d’état-major de l’armée a apporté une fin de non-recevoir à la concrétisation des mesures préalables formulées par le panel de discussion. C’est non sur toute la ligne et augure fort mal de la suite. Qu’en sera-t-il demain de la promesse qu’il travaille en toute indépendance et comment peut-il être espéré que le hirak (mouvement) se reconnaisse dans ses travaux et conclusions ?
Il faudrait pour cela que les mesures d’apaisement soutenues par Abdelkader Bensalah, qui était jusqu’au 9 juillet président par intérim, connaissent au moins un commencement d’exécution. Cela prend le chemin contraire et met en évidence des … Lire la suite