Les banques européennes ont utilisé les liquidités de la BCE pour acheter en masse des titres souverains émis par leurs pays. Leurs portefeuilles en regorgent, qui contiennent 1.600 milliards de ces titres. La part de la dette souveraine dans les portefeuilles des banques varie fortement d’un pays à l’autre: elle se situe entre 5% et 10% de l’encours total de crédit au secteur privé en Allemagne et en France, elle avoisine 20% en Espagne et au Portugal et elle approche 50% dans certains pays d’Europe centrale et orientale.
Où donner de la tête certains jours ?
La finance durable opportunité de business
L’abécédaire d’une relance rebelle
Sauvetage en vue des investisseurs dans les obligations pourries
Keynes à toutes les sauces gâtées
Les gueux et la productivité, par Christophe Hordé (*)
©Yanna Robert
La Bretagne détient le triste record des troubles musculo-squelettiques (TMS), en hausse continue depuis plusieurs années. Militant à l’Union des familles laïques, je suis confronté à la situation de familles qui tombent dans la misère et la précarité suite à des accidents du travail ou à la multiplication de TMS à répétition. Selon Jean-Michel Fougères, ingénieur adjoint des risques professionnels à la Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail (Carsat), l’économie régionale bretonne où « de nombreux postes demandent de la manutention manuelle de charges lourdes » est particulièrement à risque. L’aide à domicile, la grande … Lire la suite
Comment tourne notre monde qui cafouille
Tout tiendrait-il au fil de la Fed
Dans un monde désemparé qui aurait besoin de nouvelles recettes, le Forum de Davos qui en est un grand pourvoyeur est reporté au début de l’année prochaine, à dieu ne plaise ! Panacée par défaut, le port du masque « compense » officiellement l’absence de respect des règles de distanciation, les « zones rouges » s’étendent, ainsi que les restrictions de circulation entre pays européens. Mais il ne s’agit pas que de cela. En fait de deuxième vague, c’est celle des licenciements qui s’annonce irrésistiblement, expliquant plus que toute autre crainte la montée de « l’épargne de précaution » qui … Lire la suite