L’attention est focalisée sur le très bas prix du pétrole sur le marché mondial, un indicateur de toujours, mais le pire est-il intervenu ? Un rebond a certes salué les démarches de Donald Trump qui cherche à obtenir une baisse de la production pour faire remonter les cours. Il était sous la pression d’une intense campagne de lobbying qui réclamait des sanctions contre Riyad et Moscou, mais leur résultat se fait attendre. En tout état de cause, la médiation ne sera pas suffisante pour calmer le jeu étant donné l’ampleur de la chute de la demande.
Économie de guerre en temps de paix
La stratégie des bouts de ficelle
N’en disposant pas, les autorités européennes prennent leur temps
Nous ne sommes pas au bout du compte, on s’en doutait un peu
La mesure des responsabilités ne peut pas attendre
Ruée des grandes entreprises vers le cash
Financer le « quoi qu’il en coûte », un grand flou
La crise rend bête et intelligent à la fois
Que se passera-t-il quand nous sortirons, un jour, de cette crise qui paralyse le fonctionnement « normal » du monde, dépassant tout ce que l’on pouvait imaginer ? Il y a ceux, invétérés, qui au plus profond d’eux-mêmes restent persuadés que tout reviendra comme avant, et il y a les autres qui se prennent à espérer qu’il n’en sera rien, que le choc est trop puissant, et que les mises en cause de facto qui interviennent aujourd’hui ne passeront pas à la trappe. L’histoire n’est jamais écrite à l’avance, ce truisme est de faible consolation, mais sait-on jamais ? « … Lire la suite