Billet invité
Les dirigeants russes soufflent le chaud et le froid, ayant comme objectifs d’une part de s’impliquer à minima dans le sauvetage financier de l’Ukraine et d’autre part que le dénouement politique à la chute de Viktor Ianoukovitch préserve au mieux leurs intérêts. C’est pourquoi ils ne veulent pas d’élections présidentielles fin mai comme prévu, trois mois étant suffisants pour qu’ils se retournent. Pris eux aussi par surprise, ils se demandent comment retomber sur leurs pieds.
Que le gouvernement provisoire dure – sa constitution ayant été reculée à jeudi, pour l’instant – ne fera pas l’affaire des dirigeants européens … Lire la suite
