Ils vont devoir savoir bien nager

La finance avait dévoilé ses grandes faiblesses, voici venu le tour de l’économie. Deux vagues distinctes et conjuguées sont désormais redoutées, le retour de la pandémie et les faillites des entreprises qui en découlent, ces dernières s’apparentant plutôt à une explosion. « On ne les évitera pas », reconnaît le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire qui avertit « on a le plus dur devant nous ».

Quand l’argent de la criminalité est en odeur de sainteté

Mis en appétit par leurs révélations à propos de l’escroquerie de Wirecard, les journalistes du Financial Times sont en verve. Une nouvelle manifestation de la porosité entre les mondes de « l’argent sale » et celui qui est qualifié de « propre » a été révélée par leurs soins. À croire que le système financier englobe ces deux mondes sans trop de discernement. Ne vous attendez pas à ce que l’argent ait une odeur !

Une parenthèse qui ne se refermera pas de sitôt

La marée monte, descend et puis remonte. Pareil pour la pandémie ? L’OMS, chiffres à l’appui, alerte sur son accélération mondiale sans pouvoir rien y changer. Parmi les « émergents », le Brésil, le Mexique et l’Inde enregistrent le plus grand nombre de nouveaux décès. Aux États-Unis, les autorités sanitaires s’inquiètent devant la forte dynamique de la vague n’arrachant à Donald Trump qu’un « nous sommes en train de nous en sortir ». En Europe, à ce jour la région la plus touchée par le nombre des décès, une seconde vague est annoncée comme probable par les épidémiologistes. Partout domine … Lire la suite

Après la sarabande du risque, celle des prix

L’accès aux données, cet or noir destiné à remplacer le pétrole (et au-delà), à un prix, mais lequel ? Pour le commun des mortels, le prix de ses données est gratuit en compensation de l’accès à des services qui ne sont pas facturés (pourtant financés par la publicité et le sponsoring). Le monde financier est pour sa part partagé, les intérêts des producteurs et des consommateurs de données financières s’opposant. Une contradiction au sein du peuple des affaires, en quelque sorte.

La finance n’est pas désopilante, on le saurait

Elle a par contre vocation à être irresponsable ! c’est l’administration Trump qui en a décidé ainsi, la vérité sortant de la bouche des plus attardés. Selon le secrétaire d’État américain au travail, Eugene Scalia, « les produits d’épargne-retraite privés parrainés par l’employeur ne sont pas faits pour avancer des objectifs sociaux ou des objectifs politiques qui ne sont pas dans l’intérêt financier de l’épargnant ». C’est lui qui le dit !