François Leclerc n’a pas remporté son dernier combat contre la maladie. Emporté par un cancer fulgurant, il est parti le mercredi 9 décembre sans souffrir. Jusqu’au bout il s’est raccroché à son blog. Vendredi dernier, lors de ses derniers moments conscients, il revendiquait avec vigueur et obtenait de haute lutte qu’on lui laisse son ordinateur portable: « j’ai plusieurs papiers en tête », disait-il. Mais quelques heures plus tard, il était placé sous sédation profonde et n’en est plus sorti. Les encouragements et les dons de ses fidèles lecteurs lui allaient droit au coeur, qu’ils en soient remerciés.
Brève interruption
Le bal des hypocrites bat son plein
Ils sont insupportables
Espoirs et méandres de la conjoncture
À la pêche du passé, Vatteville
Il n’y a pas que les coronavirus dans la vie, par Robert Boulant
Après cette crise, le monde sera différent, plus solidaire, plus durable
Che Guevara ? Le Dalaï-lama ? Le Mahatma Gandhi ? OSS 117 ?
Non, c’est du Larry Fink dans le texte, le PDG de BlackRock.
Et déjà le gouvernement est en marche vers ce nouvel horizon radieux. À l’image de Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics, qui en appelle aux dons pour sauver nos entreprises.
Sous vos applaudissements !