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4 réflexions au sujet de « Le Brésil avenir de la France »
Je serais tenté de rajouter un autre parallèle : la cécité dans les deux pays des classes moyennes et moyennes-supérieures, qui croyant voter pour des gens qui vont défendre leurs intérêts, votent en fait pour leurs bourreaux.
Combien au Brésil n’ont pas supporté que leur domestique, qui refrain connu fait partie de la famille, doive avoir un contrat de travail grâce au gouvernement Lula ?
Combien ici ont voté pour M Macron en sachant la guerre qu’il ferait aux pauvres, mais sans imaginer un seul instant qu’ils seraient les prochaines victimes sur la liste ?
Quel dommage que nous ne puissions pas désinventer les armes thermonucléaires et leur promesse d’hiver nucléaire et de continents radioactifs. Une bonne guerre mondiale réglerait tous ces problèmes en quelques mois, en diminuant drastiquement le stock de gueux et en offrant aux économistes la vision paradisiaque d’une planète à reconstruire !
Un article du Gardian qui illustre pour d’autres pays (Mongolie, USA, France, Israël) ce que vous nous décrivez à propos du Brésil.
Ceux qui ont presque tout et ceux qui n’ont presque rien : quatre villes en crise
En surface, Oulan-Bator, San Francisco, Calais et Jérusalem ne sauraient être plus différents – mais pour les personnes expulsées par les bouleversements politiques ou les loyers prohibitifs, le XXIe siècle urbain montre une uniformité troublante.
Plus de la moitié de la population mondiale vit aujourd’hui dans les villes, mais de nombreuses personnes vivent dans les limbes, menant une existence précaire en marge, exclues des promesses de la vie urbaine. La population mondiale se déplace plus que jamais, poussée par les conflits et les persécutions, par la menace d’une catastrophe environnementale et par l’attrait d’une vie meilleure, mais les villes ne sont tout simplement pas prêtes à accueillir leurs nouveaux venus.
Au cours des deux dernières décennies, le photographe David Levene a documenté la façon dont les gens vivent et travaillent dans les villes du monde entier, comment ils se débrouillent avec le strict minimum de ressources pour se tailler un espace pour eux-mêmes et leurs familles dans les circonstances les plus précaires, et comment les villes sont polarisées en lieux de riches et de pauvres, avec le droit à la ville sans cesse érodé.
C’est bien moi ! Il y a une ambiguïté ?
Cordialement,
François Leclerc
Les commentaires sont fermés.
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Je serais tenté de rajouter un autre parallèle : la cécité dans les deux pays des classes moyennes et moyennes-supérieures, qui croyant voter pour des gens qui vont défendre leurs intérêts, votent en fait pour leurs bourreaux.
Combien au Brésil n’ont pas supporté que leur domestique, qui refrain connu fait partie de la famille, doive avoir un contrat de travail grâce au gouvernement Lula ?
Combien ici ont voté pour M Macron en sachant la guerre qu’il ferait aux pauvres, mais sans imaginer un seul instant qu’ils seraient les prochaines victimes sur la liste ?
Quel dommage que nous ne puissions pas désinventer les armes thermonucléaires et leur promesse d’hiver nucléaire et de continents radioactifs. Une bonne guerre mondiale réglerait tous ces problèmes en quelques mois, en diminuant drastiquement le stock de gueux et en offrant aux économistes la vision paradisiaque d’une planète à reconstruire !
Un article du Gardian qui illustre pour d’autres pays (Mongolie, USA, France, Israël) ce que vous nous décrivez à propos du Brésil.
https://www.theguardian.com/cities/2017/nov/21/haves-have-nots-cities-crisis-david-levene-san-francisco-ulaanbaatar-jungle-jerusalem
Ceux qui ont presque tout et ceux qui n’ont presque rien : quatre villes en crise
En surface, Oulan-Bator, San Francisco, Calais et Jérusalem ne sauraient être plus différents – mais pour les personnes expulsées par les bouleversements politiques ou les loyers prohibitifs, le XXIe siècle urbain montre une uniformité troublante.
Plus de la moitié de la population mondiale vit aujourd’hui dans les villes, mais de nombreuses personnes vivent dans les limbes, menant une existence précaire en marge, exclues des promesses de la vie urbaine. La population mondiale se déplace plus que jamais, poussée par les conflits et les persécutions, par la menace d’une catastrophe environnementale et par l’attrait d’une vie meilleure, mais les villes ne sont tout simplement pas prêtes à accueillir leurs nouveaux venus.
Au cours des deux dernières décennies, le photographe David Levene a documenté la façon dont les gens vivent et travaillent dans les villes du monde entier, comment ils se débrouillent avec le strict minimum de ressources pour se tailler un espace pour eux-mêmes et leurs familles dans les circonstances les plus précaires, et comment les villes sont polarisées en lieux de riches et de pauvres, avec le droit à la ville sans cesse érodé.
Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator
Coucou,
Question de beotien
Est Mr Leclerc qui signe le papier ?
Bonne journée
Stéphane
C’est bien moi ! Il y a une ambiguïté ?
Cordialement,
François Leclerc