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2 réflexions au sujet de « Il faudrait inventer les réfugiés s’ils n’existaient pas »
Je pense qu’on les a inventés avec l’aide de Soros.
Contraste entre l’histoire tragique des milliers de migrants se noyant en mer, et cette déclaration de Madame Lagarde, qui parle d’amnésie d’il y a 10 ans…Elle aurait pu parler d’une amnésie d’il y a 90 ans et d’une fameuse crise qui avait amener un grand président américain à rompre radicalement avec une certaine politique économique, et quelques grands économistes à essayer de trouver des voies nouvelles. Le FMI est largement responsable de politiques économiques administrées aux pays qui étaient dits en voie de développement, qui ont généré des politiques exogènes et contribué à de la pauvreté et des fortes inégalités. Il y a bien eu quelques politiques correctives, dits programmes de lutte contre la pauvreté, et des discours (creux) pour des politiques plus « inclusives », mais cela n’a pas suffit â masquer le rouleau compresseur d’une politique d’ajustement structurelle, largement d’inspiration néolibérale (certain se souviendront peut être d’un fameux discours du président Sankara, cher dans le coeur de nombreux africains, et qui fut assassiné quelque temps après). Alors Madame Lagarde ne pourrait-elle pas plutôt parler de mémoire sélective ?
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Je pense qu’on les a inventés avec l’aide de Soros.
Contraste entre l’histoire tragique des milliers de migrants se noyant en mer, et cette déclaration de Madame Lagarde, qui parle d’amnésie d’il y a 10 ans…Elle aurait pu parler d’une amnésie d’il y a 90 ans et d’une fameuse crise qui avait amener un grand président américain à rompre radicalement avec une certaine politique économique, et quelques grands économistes à essayer de trouver des voies nouvelles. Le FMI est largement responsable de politiques économiques administrées aux pays qui étaient dits en voie de développement, qui ont généré des politiques exogènes et contribué à de la pauvreté et des fortes inégalités. Il y a bien eu quelques politiques correctives, dits programmes de lutte contre la pauvreté, et des discours (creux) pour des politiques plus « inclusives », mais cela n’a pas suffit â masquer le rouleau compresseur d’une politique d’ajustement structurelle, largement d’inspiration néolibérale (certain se souviendront peut être d’un fameux discours du président Sankara, cher dans le coeur de nombreux africains, et qui fut assassiné quelque temps après). Alors Madame Lagarde ne pourrait-elle pas plutôt parler de mémoire sélective ?